En japonais, le mot « shiatsu » signifie littéralement « pression des doigts ». C’est un art thérapeutique issu de la médecine traditionnelle chinoise, dans lequel les doigts et les mains du praticien exercent une pression sur des points particuliers du corps, en suivant la cartographie des méridiens (acupuncture). Véritable massothérapie, son but est de soulager les tensions, ainsi que les symptômes de certaines maladies, et d’harmoniser les flux vitaux appelés « énergie ».
La santé du corps et de l’esprit dépend de l’équilibre et de la bonne circulation de cette énergie.
J'ai été formée à l’Institut Français de Shiatsu, fondé et dirigé par Michel Odoul. Les techniques corporelles et le travail sur les points d’acupuncture y sont enrichis par la psycho-énergétique, qui permet de ne plus voir la maladie comme le fait du hasard mais comme un message de notre conscience, de notre être intérieur. A travers le traumatisme, la maladie, ou simplement le symptôme (insomnie, migraine..) le corps exprime ce que l'esprit refoule. Le praticien propose des pistes, si la personne le souhaite, et cherche avec elle à décoder ce langage..
Les techniques utilisées incluent également la moxibustion, stimulation des points d'acupuncture à l'aide d'un bâton d'armoise incandescent (source de chaleur).
J'ai également suivi la formation du Shiatsu Namikoshi en 2017 au Japon, puis à l'Institut Français de Shiatsu par les maîtres japonais. Cette forme de Shiatsu ostéo-articulaire n'est pas énergétique et peut être proposée aux femmes enceintes notamment.
Mal de dos, (lombalgie, dorsalgie, cervicalgie), sciatique, migraine, insomnie, troubles des règles, troubles digestifs, stress, dépression, burn out, fatigue chronique, tension nerveuse, douleurs articulaires, musculaires,...sont autant de raisons de recevoir un Shiatsu.
Tensions dorsales, insomnie, difficultés digestives... Les pratiques de shiatsu et de réflexologie peuvent vous aider. Elles remettent en circulation énergétique les zones tensionnelles et harmonisent votre métabolisme.
Elles ne se substituent pas cependant à la consultation d'un professionnel de santé seul habilité à poser un diagnostic.